"Il y a une forme de pauvreté qui me touche
bien plus que la pauvreté materielle : c'est
la vraie pauvreté, celle qui fait que,
dénuée de tout, on n'a rien à donner
à Dieu.
La meilleure consolation, quand on aime,
c'est de pouvoir le prouver en donnant
en se donnant, et cela je ne le puis pas
à cause de mon néant :
non seulement je n'ai rien,
mais je ne suis pas."
Consummata (ed. Claude Martingay)